Chœur de l'Abbatiale

Seconde époque : un chœur régulier

En 1968, le pasteur Jean-Pierre Tüscher (ou plutôt son épouse...!) demanda au jeune instituteur fraîchement débarqué à Romainmôtier, Michel Baud, de reprendre le Chœur Paroissial.

Le chœur prépara les fêtes du Jeûne, de l’Ascension, de Noël, et prit la décision de travailler régulièrement, à raison d’une répétition par semaine.

Un programme spirituel, mais aussi profane

neumes
Le Chœur Paroissial accompagna dorénavant les « fêtes carillonnées », et anima les services de Pâques, du Jeûne, de Noël, parfois de l’Ascension ou de Pentecôte.


Il eut l’occasion d’interpréter plusieurs centaines d’oeuvres plus ou moins longues, allant du chant de Taisé à la liturgie orthodoxe, en passant par le gospel, des extraits de cantates et de motets en allemand, en français, en latin, des « Christmas Carols » en anglais, du chant grégorien, des créations composées par son chef, et par Vincent Girod,

chèvre

Le chœur s’accorda des incursions dans la musique profane, et participa à des soirées, avec le chœur d’hommes d’Arnex, monta une revue, la « Croisière au fil du Nozon », et, en compagnie du Petit Chœur du collège de Vaulion, des solistes, des petits danseurs, un orchestre, donna en 1998 « La Chèvre d’Azur », de Vincent Girod.




Concerts classiques

Le Chœur Paroissial aimait ponctuer son programme dédié aux services religieux en l’Abbatiale par des prestations concertantes, en compagnie d’autres chœurs, parfois seul.
Œuvres interprétées :
les Funérailles de la Reine Mary, de Purcell, le Requiem de Fauré, la Messe en ré de Dvoràk, le Gloria, le Credo de Vivaldi, une messe brève de Mozart, une autre de Haydn, le Te Deum de Charpentier.


Le chef Michel Baud se retira après 34 ans de direction lors d’un concert consacré à des oeuvres à deux chœurs, le Beatus Vir, le Domine Deus, de Vivaldi, en compagnie du Chœur Laudate, dirigé par Claire Martin.

Retour
RapidWeaver Icon

Made in RapidWeaver